L'éducation des enfants autochtones, qui fait partie intégrante du système d'enseignement russe, englobe notamment le droit pour ces enfants d'étudier leur langue maternelle.
S'il choisit de s'inscrire dans une classe où l'enseignement est dispensé en serbe, il peut suivre deux cours hebdomadaires facultatifs dispensés dans sa langue maternelle.
Un cadre conceptuel pour l'amélioration des qualifications des enseignants des établissements d'enseignement général dans les langues d'origine (non russes) et la langue russe (non maternelle).
Le paragraphe 3 de son article 17 garantit le droit des Samis, en tant que peuple autochtone, de conserver et de développer leur langue et leur culture.
L'objectif est d'obtenir d'abord des résultats quantifiables dans les cinq années à venir puis de parvenir à une situation d'égalité dans les 20 années à venir.
Indiquer si les personnes appartenant à des minorités linguistiques ont le droit de s'exprimer dans leur propre langue devant les tribunaux et auprès des autres autorités publiques.
Le Comité juge préoccupant que les autochtones n'aient que des possibilités limitées de recevoir une instruction et d'employer leur propre langue dans leurs relations avec la justice.
Dans le domaine de l'éducation, diverses populations autochtones reçoivent un enseignement dans leur propre langue, dans lequel les valeurs sociales et culturelles de chaque groupe sont respectées.
Huitième type d'école : l'école d'été, qui vise à donner des rudiments de langue et de culture locale aux enfants qui ne maîtrisent pas leur langue maternelle (camps d'été).
Le Comité se félicite de l'instauration en Équateur d'un système éducatif bilingue permettant à quelque 94 000 enfants autochtones de suivre leur scolarité en espagnol ainsi que dans leur langue maternelle.
Elle contient des dispositions relatives au droit des Samis de parler leur langue (le sami d'Inari, le skolt ou le sami du nord) devant les tribunaux et d'autres instances publiques.
Deuxièmement, l'enseignement en milieu scolaire de la langue vernaculaire et de la langue véhiculaire comme deuxième langue exige une formation spéciale et des compétences pédagogiques dont manquent souvent les enseignants autochtones.
Il s'ensuit que le droit des populations autochtones à une éducation dans leur propre langue n'est pas suffisamment respecté et qu'il conviendra à l'avenir d'accorder à cette question toute l'attention qu'elle mérite.
Les étudiants dont la langue maternelle est une des langues polynésiennes ou une langue d'une autre communauté ont également l'occasion d'acquérir et d'utiliser leur propre langue dans le cadre de leur scolarité.