L'affaire en cause concernait une citoyenne danoise d'origine brésilienne qui s'était vu refuser l'accès à un restaurant-discothèque à Copenhague, selon elle, pour des motifs raciaux.
En Italie, un accord sur les dispositions spéciales à prendre dans les discothèques avait été signé entre les autorités et l'Association nationale des propriétaires de discothèques.
Muni des protections nécessaires, il se faisait lancer à une courte distance sur un matelas pneumatique par certains clients de l'établissement dans lequel le spectacle était organisé (discothèque).
De nombreux cas de discrimination à l'égard des Tziganes dans l'accès aux restaurants, aux magasins et aux discothèques ont été portés à la connaissance du Rapporteur spécial.
Le policier de service n'a pas voulu accepter la plainte et a informé l'auteur que les propriétaires de la discothèque étaient entièrement libres d'admettre ou de refuser quelqu'un.
Aucune autorisation ne peut être accordée lorsqu'il s'agit d'employer des enfants dans des spectacles de variétés, des cabarets, bars, sex shops, dancings, discothèques ou entreprises de ce type.
Sans atteindre jusqu'ici des taux de prévalence élevés, l'abus d'ecstasy a été enregistré dans certains pays en développement dans le contexte des discothèques et des clubs de danse.
Cette initiative faisait suite aux multiples plaintes selon lesquelles les Roms se voyaient refuser l'accès à des clubs, discothèques, restaurants, cafés ou piscines en raison de leur origine ethnique.
Des attentats suicide ont assassiné des dizaines de jeunes israéliens, en frappant délibérément aux endroits fréquentés par des jeunes : discothèques, arrêts de bus, restaurants fast food, centres commerciaux.
Selon son arrêt, le portier avait informé l'auteur et ses amis qu'en vertu du règlement de la discothèque ils ne pouvaient pas entrer, car plus de 10 étrangers se trouvaient déjà à l'intérieur.