Le Comité est préoccupé par des informations persistantes faisant état d'aveux obtenus sous la torture et les mauvais traitements pendant les interrogatoires.
D'après les informations reçues, le bureau du Procureur utiliserait les aveux obtenus sous la contrainte comme preuves pour faire condamner des inculpés.
Les avocats des accusés s'y opposent et demandent que le jour soit fait (que la lumière soit faite) sur les méthodes qui ont été utilisées pour extirper les aveux.