Aucun de nous n'oubliera jamais le visage joyeux des filles rentrant enfin à l'école après s'être vu refuser ce droit si fondamental pendant des années.
Il ne s'agit pas de participation quand des jeunes sont présents mais à titre décoratif, pour faire des sourires reconnaissants ou pour se limiter à chanter et à danser.
Les enfants retrouveront alors le sourire, la joie de vivre et de s'épanouir au milieu de leurs parents - eux-mêmes heureux de refaire leur vie dans une nation réconciliée avec elle-même.
Les instances internationales de réflexion et de débats génèrent des tensions et courent le risque de perdre toute crédibilité si elles ne débouchent pas sur des actions qui redonnent le sourire aux jeunes sans emploi et sans avenir.