Distribuer des préservatifs féminins et masculins accroît le nombre d'actes sexuels protégés et réduit l'incidence des maladies sexuellement transmissibles (MST).
Ce risque augmente considérablement pour ceux qui ont des maladies sexuellement transmissibles (MST) non traitées, et en particulier des plaies ou des ulcères.
Elles doivent subir périodiquement (tous les 15 jours) des tests de détection des maladies sexuellement transmissibles (MST) au Service de dermatologie du Ministère de la santé.
Qui plus est, le Programme national de lutte contre les MST et le sida assure ainsi aux enfants de mères séropositives une alimentation en lait humain.
Pour la plupart des garçons, les rapports homosexuels ne peuvent pas provoquer de maladies sexuellement transmissibles (MST) et les préservatifs ne servaient qu'à éviter la grossesse.
Les maladies sexuellement transmissibles (MST) touchent davantage les femmes que les hommes car étant donné l'anatomie de l'appareil génital féminin les femmes sont plus enclines à s'infecter.
Dans la région de la CESAP, la plupart des pays ont déjà établi une entité nationale de coordination de la lutte multisectorielle contre le sida et autres MST.
Les préservatifs masculins et féminins sont des dispositifs qui assurent une "double protection" contre les MST, notamment le VIH d'une part et les grossesses non désirées d'autre part.