Ces changements étonnent par leur ampleur, surtout lorsqu’on demande aux Français leur avis sur la PMA, la procréation médicalement assistée, soit l’insémination artificielle, pour avoir un enfant.
Mais dans le cas d’une PMA pour un couple de femmes homosexuelles, les Français n’étaient que 24 % à être favorables en 1990, ils sont aujourd’hui 60 %, presque trois fois plus.
Les adolescents malent dans leur peau, ils se moquent complètement de savoir ce qu'il en est du mariage, de l'adoption, de la PMA, de la GPA, c'est juste des mots.