Lorsqu'ils choisissent un chantier de recyclage, les armateurs devraient tenir compte de ses limites éventuelles et préparer leurs navires en conséquence.
Les affrètements à temps comportaient des clauses de risques de guerre permettant aux armateurs d'annuler les chartes-parties si des hostilités bien déterminées venaient à éclater.
Alexandria déclare qu'elle "n'a pas exécuté le contrat de construction navale étant donné que l'armateur considérait que le Moyen-Orient était une zone de guerre".
Le Groupe d'experts ne souhaite pas que les armateurs actuellement immatriculés au LISCR l'abandonnent en masse pour s'inscrire à d'autres régimes de libre immatriculation.
Dans l'affaire des Réclamations des armateurs norvégiens, l'indemnité pour manque à gagner n'a pas été octroyée au-delà de la date de la décision rendue.
Pour obtenir la « protection » d'un navire, l'armateur ou le propriétaire doit acquitter des droits par l'intermédiaire d'un agent travaillant pour le compte des autorités locales.
Toutefois, l'application simultanée de différents instruments juridiques peut créer des brèches pouvant être exploitées par les armateurs pour échapper aux dispositions de la Convention de Bâle.
Comme on l'a vu plus haut, au paragraphe 269, la NITC était tenue de payer une surprime pour risques de guerre en vertu des chartes-parties pertinentes conclues avec les armateurs.