Avec la nomination du Représentant spécial du Secrétaire général, le calvaire des enfants victimes des conflits armés est devenu une priorité principale de l'ONU.
En outre, les États-Unis s'emploient avec énergie, en collaboration avec d'autres gouvernements, à mettre fin au long calvaire des réfugiés, comme des Bhoutanais au Népal.
Nous devons, cependant, nous souvenir que le calvaire des civils lors des conflits armés demeure un problème important et grave dans bien d'autres parties du monde.
Parmi ces horreurs, nous avons assisté au calvaire des plus faibles : le recrutement par la force des enfants et la violation quotidienne des droits des fillettes et femmes africaines.
De ce fait, nombreuses sont les victimes qui ne veulent par révéler aux étrangers les détails de leur calvaire, demander de l'aide ou intenter des poursuites à l'encontre des auteurs.
Il convient de s'attaquer de toute urgence au calvaire enduré par les personnes déplacées, en particulier les femmes et les enfants, dans ces situations de conflit et dans les camps de réfugiés.
L'absence de sécurité et de stabilité en Iraq continue de freiner les efforts de tous les pays déterminés à aider l'Iraq à surmonter ce calvaire, à relever son économie et à reconstruire.
C'est une question capitale, de caractère purement humanitaire, et nous recherchons l'appui de l'ensemble de la communauté internationale afin de mettre fin, une fois pour toutes, au calvaire de tant de familles.
Le Comité a exprimé ses profondes condoléances aux familles des victimes dont les dépouilles ont été identifiées et sa préoccupation quant au calvaire de ceux dont le sort n'est toujours pas connu.