En effet, les inflexions de la voix, et même les silences, sont de précieux indicateurs, dénotant l'hésitation ou l'embarras de celui à qui vous parlez.
Quant au capitaine Speedy, il était tout bonnement enfermé à clef dans sa cabine, et poussait des hurlements qui dénotaient une colère, bien pardonnable, poussée jusqu’au paroxysme.
La figure de ce Patagon était superbe et dénotait une réelle intelligence, malgré le bariolage qui la décorait. Il attendait dans une pose pleine de dignité.
La figure de Cyrus Smith, plus pâle que d’ordinaire, dénotait une colère intérieure qu’il ne dominait pas sans peine, mais il ne prononça pas une parole.
Alors, certains croient dénoter des pommes, d'autres betteraves. Donc nous, on va avoir un petit boudin avec des petits cigares qui seront aux pommes et à la betterave.
Là, un domestique lui remit le Times non coupé, dont Phileas Fogg opéra le laborieux dépliage avec une sûreté de main qui dénotait une grande habitude de cette difficile opération.
À la première vue, rien ne dénotait donc le cardinal, et il était impossible à ceux-là qui ne connaissaient point son visage de deviner devant qui ils se trouvaient.
Tous les auditeurs firent malgré eux un bond qui dénotait la préoccupation que le récit de Morcerf avait infiltrée dans leurs âmes. Albert lui même ne put se défendre d’une émotion soudaine.
Sa bouche ouverte démesurément, ses yeux fulgurants sous la lentille de ses lunettes, sa tête remuant de haut en bas, de gauche à droite, toute sa posture enfin dénotait un étonnement sans borne.
Par exemple, des indices faciaux tels que le sourire traduisent le bonheur, le froncement des sourcils dénote la confusion, et le fait de se mordre les lèvres signifie que tu es inquiet, anxieux ou stressé.
Cette figure eût eu plus de gravité, sans la finesse extrême qui apparaissait dans certains traits, et qui fût allée jusqu’à dénoter la fausseté, si le possesseur de ce beau visage eût cessé un instant de s’en occuper.