La communauté des utilisateurs de GNSS est d'avis que toute infrastructure de données spatiales doit reposer sur un référentiel géodésique moderne, cohérent et accessible.
L'IGS, auquel participent une centaine d'organismes, a pour mission d'appuyer la recherche géodésique et géophysique en fournissant des données GPS et des produits dérivés.
Ces divers systèmes, élaborés par des méthodes géodésiques classiques, présentaient aussi des inexactitudes par rapport aux systèmes plus modernes faisant appel aux techniques de GPS.
Il aura à sa tête un spécialiste des systèmes d'information géographique (P-4) qui dirigera l'Institut et donnera des avis techniques généraux en matière de systèmes géodésiques.
Elles visent la mise en place de stations GPS permanentes et l'adoption du système géodésique international connu sous le nom de « Cadre de référence terrestre international ».
Il semble que cette violation se soit produite par inadvertance et qu'elle s'explique par le fait que les Forces de défense israéliennes utilisent un système géodésique différent.
La Fédération de Russie en particulier a constitué un stock considérable de données à faible, moyenne et haute résolutions ainsi que des bases de données topographiques et géodésiques.
Un débat a eu lieu sur la mise en place d'un réseau géodésique dans le Nord de l'Algérie pour suivre la déformation des plaques tectoniques grâce au GPS.
Encouragée par ces résultats, la Conférence a insisté sur l'importance qu'il y avait à développer et à améliorer l'infrastructure régionale géodésique qui constituerait un cadre général homogène pour l'infrastructure régionale.
De nouveaux groupes de travail du Comité permanent, créés lors de la Conférence, avaient été chargés de l'infrastructure géodésique régionale, des données fondamentales, du cadastre, et du renforcement des institutions.
L'Institut national du cadastre et de la géodésie sera une nouvelle structure appelée à fournir des avis et un appui techniques en vue de la création d'un réseau de surveillance géodésique.
La position de la deuxième ligne de délimitation, celle qui est située à 100 milles de l'isobathe de 2 500 mètres, calculée par positionnement géodésique, est indiquée sur la carte de l'océan Glacial Arctique.
Le traitement des données observées permettra, en plus de fournir une base géodésique fondamentale pour le projet, d'en incorporer les résultats aux bases de données susceptibles de détecter des éventuels mouvements géodynamiques.