Elle prétendait que les actes répréhensibles de l'intimé Gosset l'avaient dépouillée de son droit de continuer son association avec son fils en tant que parent.
L'intimé avait intenté une action en justice et le requérant avait présenté une motion tendant à ce qu'il soit sursis à la procédure pour qu'un arbitrage soit possible.
Le requérant et l'intimé avaient conclu un accord relatif à la vente d'un navire comportant une clause selon laquelle les différends éventuels devaient être soumis à l'arbitrage à Londres.
L'un de ces appels concernait un grand nombre d'intimés, si bien qu'il a fallu étudier des milliers de pages de documentation et rédiger des centaines de pages de mémoire.