L'équipe de douaniers et de contrôleurs de l'immigration du colonel Hirale collecte les redevances que doivent payer les passagers et les importateurs de khat.
Le khat, qui n'est pas soumis à un contrôle international, continue d'être saisi en grosses quantités par les pays d'Afrique de l'Est et du Moyen-Orient.
Le commerce local du khat est aux mains de marchands meru et somaliens, en revanche, les exportations de khat kényen sont pratiquement contrôlées par les Somaliens.