L'Institut d'océanologie de l'Académie polonaise des sciences est le principal établissement scientifique public consacré à l'océanographie en Pologne.
Il doit améliorer la prévision, la surveillance et les recherches météorologiques et être le point de départ de l'océanographie opérationnelle mondiale.
Il s'est encore manifesté par une expédition polaire qu'il a entreprise 100 ans après son trisaïeul, le Prince Albert Ier, pionnier de l'océanographie moderne.
Un bilan des développements récents dans les sciences de la mer, en particulier l'océanographie et la télédétection, a été présenté par certaines délégations.
Ils se prêtent à une multitude d'applications dans les domaines de l'océanographie, de la surveillance de l'environnement et de l'étude des ressources subaquatiques.
L'oeuvre pionnière accomplie en ce domaine, par le Prince Albert 1er de Monaco, l'un des fondateurs de l'océanographie moderne, n'est plus à faire valoir.
La question de l'océanographie opérationnelle a continué de susciter des divergences de vues, notamment à propos de sa définition et du régime juridique à lui appliquer.
Pour définir les besoins en données de référence on prendra en considération six groupes de données : océanographie physique, océanographie chimique, propriétés des sédiments, communautés biologiques, bioturbation et sédimentation.
Au sujet de l'océanographie chimique et biologique, M. Neureiter a déclaré que l'observation des caractéristiques chimiques et biologiques posait plus de problèmes aux chercheurs que celle des caractéristiques physiques.
Les possibilités d'utilisation du système Argos - un nouveau système de localisation géographique - dans des applications intéressant l'environnement, l'océanographie et le traçage des espèces sauvages ont été exposées.
Une coopération s'impose dans tous ces domaines, surtout pour faciliter le passage de l'océanographie physique à l'océanographie biologique et chimique et à la pluridisciplinarité indispensable pour comprendre les écosystèmes marins.
Mais aujourd’hui, la terre se réchauffe et tout s’accélère, notamment la fonte des glaces. Frédérique Rémy, du laboratoire de géophysique et océanographie spatiale, au micro de Simon Rozé.