Les modifications que nous faisons ne sont pas toxiques, nous travaillons sur des organismes non pathogènes et nous leur insérons un gène de la bioluminescence.
On travaille, d'une part, sur la stimulation des défenses des plantes et d'autre part directement aller attaquer le pathogène qui peut être responsable d'une maladie.
Des écologues allemands ont conclu que ces colorations pourraient également protéger ces amphibiens des agents pathogènes et du stress environnemental lié aux températures extrêmes.
Une défense inflammatoire affaiblie empêche l’organisme de lutter efficacement contre les micro-organismes pathogènes et le virus peut alors diffuser plus facilement et rapidement dans le corps.