La surexploitation des ressources marines biologiques due à la surpêche continue d'être un sujet de vive préoccupation pour la communauté internationale.
Le Gouvernement du Canada a récemment fait des investissements considérables pour mettre en œuvre une nouvelle stratégie fédérale de lutte contre la surpêche.
Si l'on considère les stocks pour lesquels on dispose de renseignements, la surpêche paraît généralisée et la majorité des stocks sont pleinement exploités.
Elle s'ajoute aux autres pressions humaines déjà dangereuses, comme la surpêche, la pollution, la bétonisation des côtes ou le transport maritime à outrance.
Elle accueille des milliers d'espèces différentes de poissons, de mammifères marins et d'oiseaux, mais avec le réchauffement climatique et la surpêche, l'archipel est en danger.
La surpêche de certains prédateurs entraîne elle aussi de nombreux problèmes, notamment à travers le dérèglement des chaînes alimentaires, ceci conduisant à la prolifération d'espèces problématiques pour le corail.
Déjà menacés par le réchauffement climatique, l'acidification et la surpêche, une étude publiée samedi par l'Union internationale pour la conservation de la nature révèle qu'ils souffrent aussi d'une perte en oxygène.
Ces animaux qui vivent entre l'eau douce et l'eau salée ou entre l'amont et l'aval des rivières subissent la surpêche, la pollution des cours d'eau, et la destruction de leur habitat naturel.
Objectif trouver comment passer de 8 % des aires marines protégées à 30 % en sept ans. Un pari fou mais nécessaire pour sauver les écosystèmes marins confrontés à la surpêche, à la pollution et au changement climatique.