Aujourd'hui, les tyrans se repaissent du déferlement de désespoir, recherchant un abri chez les faibles, exploitant les vulnérabilités des moins fortunés.
La Cour pénale internationale constituera une mise en garde pour les futurs tyrans qu'ils devront répondre de leurs crimes devant la justice internationale.
Contrairement à ce qu'il affirme, le Gouvernement cubain n'est pas une victime mais plutôt un tyran, qui punit implacablement tous ceux qui osent avoir une opinion différente.