En tout état de cause, il faut que la Commission ait une vue d'ensemble plus claire de la situation avant de pouvoir conclure ses travaux sur ce point.
Le moment venu, l'histoire jugera peut-être sévèrement la manière dont le Conseil de sécurité a géré la question somalienne, comparé à la manière dont il a réagi face à d'autres crises dans des situations comparables.