Les grands ensembles, délaissés par les classes moyennes, sont devenus le lieu d'implantation en masse par excellence des familles pauvres et immigrées.
Dans certains pays pauvres, la dette nationale augmente, limitant les perspectives de croissance économique tout en appauvrissant différents segments des classes moyennes.
Naturellement, des parents de la nouvelle classe moyenne ougandaise choisissent d'envoyer leurs enfants dans des écoles privées et payer les frais de scolarité.
Le Français appartenant à la classe moyenne vit en maison individuelle, est propriétaire de son logement principal, et est satisfait de l'endroit où il vit.
Dans bon nombre de pays, la classe moyenne qui est traditionnellement un facteur de stabilité socioéconomique, se réduit dangereusement, ce qui ajoute au malaise social.
Il a aussi retardé le développement d'une classe animée d'un esprit d'entreprise ainsi que d'une classe moyenne dotée de compétences et de capacités de gestion.
Alors, est-ce ce à quoi on assiste aujourd'hui, ou les classes sociales ont-elles disparu au profit d'une grande classe moyenne, comme on l'entend parfois ?
C'est ensemble que nous bâtirons une prospérité nouvelle pour nos peuples, qui passera par la recherche et l'innovation, par un commerce libre et équitable, et par la défense de nos classes moyennes.
C'est à ce moment qu'on se met à parler de moyennisation la majorité de la population appartiendrait désormais à une vaste classe moyenne, ce qui mettrait plus ou moins fin à la lutte des classes.