Pour la majeure partie, les requérants demandent à être indemnisés des paiements qu'ils ont déjà effectués au titre des chèques de voyage perdus ou volés.
La réclamation pour sommes à recevoir "enregistrées" concerne des pertes qui correspondraient au non-règlement des attestations provisoires et de la retenue de garantie, enregistrées dans l'accord de paiement différé.
Elle a fourni aussi des copies des billets à ordre et de la correspondance échangée avec la Banque centrale de la Turquie confirmant que ces billets n'avaient pas été honorés.
Ces réclamations portaient le plus souvent sur la perte de fonds détenus sur des comptes bancaires au Koweït ou en Iraq, des chèques non encaissés ou des billets à ordre exigibles.
L'expert indépendant a rappelé sa proposition de «pacte pour le développement» dans l'optique de la création d'un fonds spécial remboursable par anticipation en vue de promouvoir la mise en œuvre du droit au développement.
Le groupe de travail devrait se réunir d'ici peu pour régler les questions touchant les 179 lettres de crédit en souffrance pour lesquelles des déclarations de livraison ont été présentées (voir plus haut, tableau 2).
Kiska demande le remboursement d'une somme de US$ 917 671 correspondant aux montants dus au titre des deux billets à ordre restants, qui n'auraient pas été payés en raison de l'invasion et de l'occupation du Koweït par l'Iraq.
Hasan a aussi prétendu que, le 22 juillet 1990, deux obligations avaient été présentées à la Banque centrale de l'Iraq mais que, en raison de l'embargo de la Turquie sur l'Iraq, l'opération avait été gelée par la Banque centrale de l'Iraq.