Luo Ji stoppa lentement la voiture. Zhuang Yan le regarda avec surprise, tandis que ses yeux à lui étaient rivés sur la route mouchetée de lumière solaire.
A voir le vernis écaillé qui le couvre, les amateurs de symboles y découvriraient peut-être un mythe de l'amour parisien qu’on guérit à quelques pas de là.
哈利·波特与阿兹卡班囚徒 Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban
Harry remarqua que la tante Pétunia faisait une légère grimace en voyant l'animal éclabousser de thé et de bave le carrelage étincelant. La tante Pétunia détestait les animaux.
Le ciel était couvert d'une étrange couche de nuages marbrés, des nuages composés de poussière, de pierres ou encore de corps humains, derrière lesquels resplendissait le soleil.
Leurs branches luxuriantes se déployaient à la surface du plafond et devant les fenêtres, laissant filtrer dans toute la pièce des rayons obliques d'une lumière verte, douce et tachetée.
Dans la moindre ruelle, dans un mur où la texture va être un peu abîmée à cause du temps, ça a vraiment changé mon regard sur les choses et sur le monde.
L'un avait des feuilles vert sombre, dont l'envers brillait comme l'argent, et il répandait de ses fleurs innombrables comme une inépuisable rosée de lumière argentée qui baignait le sol tacheté d'ombres frémissantes.
Il n'était point arrivé seul à Milan, il avait dans sa voiture le duc Sanseverina-Taxis, joli petit vieillard de soixante-huit ans, gris pommelé, bien poli, bien propre, immensément riche, mais pas assez noble.