Si c'est le cas, un système de fixation préalable des prix pourrait être rétabli; sinon, le Comité devra prendre des mesures supplémentaires à l'encontre du Gouvernement.
Lorsqu'à l'issue de l'enquête, la faute est établie, il prend les mesures correctives qu'il juge appropriées dans les circonstances. Ces mesures peuvent être de nature disciplinaire.
Tout fonctionnaire de l'Organisation ou d'organismes apparentés qui trahit cette confiance sacrée doit être tenu comptable de ses actes et, lorsque les circonstances l'exigent, traduit en justice.
Si les allégations se confirmaient après une enquête en bonne et due forme, les personnes malhonnêtes devraient être congédiées et devraient répondre de leurs actes en justice.
Il est toutefois vital de vérifier la véracité des allégations formulées à l'encontre des soldats de la paix afin d'exclure la possibilité d'accusations fallacieuses ainsi que les tentatives faites pour obtenir une indemnisation injustifiée.
Pour déterminer si c'était le cas, il s'agit de comparer la production effective de pétrole brut de la KPC après l'invasion du Koweït par l'Iraq à la meilleure estimation de sa production dans un scénario hors invasion.
Ainsi, le Bureau des services de contrôle interne enquête sur des allégations de ce type visant des membres des forces de maintien de la paix de l'ONU à Djouba et agira en conséquence si ces allégations se révèlent fondées.