Le vice-secrétaire général des Nations Unies, Jan Eliasson, a fait jeudi après-midi le point de la situation ukrainienne par vidéoconférence avec le Conseil de sécurité lors des consultations à huis-clos.
Et la polémique ne s'arrête pas là, car ce choix de rémunération a été rejeté hier par les actionnaires de l'entreprise, dont fait partie l'Etat français, lors d'une assemblée générale en visioconférence.