La Nouvelle-Zélande a déclaré satisfaire aux exigences de l'article 21 chaque fois qu'elle procédait à un arraisonnement et à une inspection en haute mer.
L'État du pavillon peut notamment autoriser l'État requérant à arraisonner le navire, à l'inspecter et à vérifier si les conditions de sécurité y sont respectées.
Lors de l'inspection d'un navire, effectuée le 8 mai, les autorités libanaises ont découvert un citoyen libanais qui avait embarqué illégalement dans un port étranger.
La permission d'arraisonner pourrait être donnée sur la base de l'autorité de l'État du pavillon présumé, ce qui serait utile pour accélérer la délivrance des autorisations.
La Commission générale des pêches pour la Méditerranée (CGPM) a indiqué qu'il était probable que des procédures d'arraisonnement et d'inspection en haute mer soient élaborées à l'avenir.
Cette même loi interdit aux navires pêchant au filet dérivant d'entrer dans les ports néo-zélandais et en permet l'abordage, l'inspection et la saisie pour faire respecter l'interdiction.
La loi précise les pouvoirs des officiers de police en ce qui concerne l'arraisonnement, l'examen et l'inspection des navires de pêche, la poursuite, la capture, et les arrestations.
Malheureusement pour eux, ils se retrouveront rapidement coupés de leur ravitaillement, contraints d'être abandonnés une fois le corps expéditionnaire britannique rembarqué à Dunkerque.