Après un long face-à-face avec la foule, le commandant adjoint Babo a désarmé six agents de l'UIR originaires de l'est, leur a fait enlever leur gilet pare-balles, et les a fait escorter jusqu'aux véhicules qui les attendaient.
L’heure approchait de tenter la grande opération. Une fiévreuse impatience tenait les esprits en surexcitation. Personne ne parlait. On regardait John. On attendait un ordre de lui.