Le futur chef d'état de ce pays d'environ 5 millions d'habitants aura notamment pour mission de sortir le pays de trois ans de violences intercommunautaires.
En même temps, on n'est pas du tout dans une logique de guerre civile ou d'affrontements entre 2 clans, comme c'était le cas à Khartoum en avril dernier.
Il a bien désigné son successeur, Uthman, sauf que ce dernier favorise trop la politique de son clan, et en plus il veut imposer une certaine version du Coran à tous les autres.