Le mouvement pro-iranien sait qu'il doit riposter s'il ne veut pas perdre totalement la face, et même menacer sa position hégémonique sur la scène politique libanaise.
Cette pensée coïncidait avec l'enthousiasme des libéraux, surtout des jeunes, qui avaient réussi à faire élire un président de leur parti après quarante-cinq ans d'hégémonie conservatrice.
Il y a quelques jours, on se demandait si l'Iran allait déclencher la guerre régionale, les rôles se sont inversés, avec l'affirmation de la suprématie militaire d'Israël.