L'extrême pauvreté dans de nombreuses régions du monde, les maladies infectieuses mortelles et la dégradation de l'environnement ont des conséquences dévastatrices.
Cette "migration des pauvres" reflète une volonté que le rétablissement de frontières ne pourra jamais contenir : les pauvres veulent sortir de l'état d'extrême pauvreté.
Les familles obligent les enfants à travailler ou louent leurs services comme domestiques pour pouvoir atténuer les effets immédiats de l'extrême pauvreté et de la faim.
Il importe que les stratégies de réduction de la pauvreté ciblent les femmes les plus pauvres de la société car la traite résulte de la pauvreté extrême.
Si toutes les tentatives menées pour mettre en œuvre les innombrables mesures d'élimination de la pauvreté proposées depuis 15 ans sont harmonisées, on pourra obtenir des résultats réels.
Il faudrait reconstruire le secteur privé et renforcer sa capacité de production, faute de quoi il n'y aurait ni reconstruction ni croissance générales et la pauvreté resterait massive et intense.
En même temps, les institutions de microfinancement coopèrent avec les organisations qui fournissent le soutien de base et des services de microfinancement aux personnes extrêmement pauvres qui sont prêtes.
Il nous faut toutefois reconnaître que ces armes n'auraient pas lieu d'être utilisées si les situations de conflit et le climat de méfiance, dus à l'extrême pauvreté, n'existaient pas.
En général, des niveaux élevés de pauvreté et de chômage entraînent l'éclatement de l'unité familiale, l'augmentation de la violence domestique, l'exploitation au travail, les sévices et l'exploitation sexuels, ainsi que l'abandon.
Mais il a aussi servi à nommer des associations qui s’occupent de ceux qui sont dans un grand dénuement, qui manquent de tout : on parle du secours mutuel, du secours populaire.