Certains ont fait des témoignages très convaincants selon lesquels ils avaient été battus et frappés au visage, en particulier par des responsables du "Gorotdel".
Par exemple, un détenu a dit qu'il avait été battu, frappé au visage, menacé de coups de matraque en caoutchouc et contraint de signer des aveux dans l'un des postes de police du district de Bakou.