Si le combat a été honorable, le public acclame le torero et peut lui accorder une oreille, deux oreilles ou même la queue, si le combat a été exceptionnel.
Claudine, qui a de l'imagination, nous décrivait Pablo tel qu'elle le voyait : grand, très brun, des yeux de feu, la noble démarche du torero,la pâleur du génie.
Un bel organe, un imperturbable aplomb, plus de tempérament que d’intelligence et plus d’emphase que de lyrisme, achevaient de rehausser cette admirable nature de charlatan, où il y avait du coiffeur et du toréador.