Une telle attitude est illogique, irresponsable et amorale, et empêche tout progrès éventuel vers l'objectif palestinien d'une paix définitive, juste et durable.
D'aucuns ont relevé qu'il fallait s'intéresser tout particulièrement aux commerçants, car leur comportement était dicté par des motifs purement économiques et était par ailleurs amoral.
Traiter ceux qui se livrent à la terreur et ceux qui sont déterminés, dans des conditions difficiles, à y répondre comme des égaux d'un point de vue moral n'est pas amoral, c'est immoral.
Ceux qui y détiennent le pouvoir incitent au terrorisme et à la violence et ne sont pas disposés à déclarer publiquement que le terrorisme est non seulement amoral et illégal, mais, en fin de compte, voué à l'échec.