Ce qui enchante, en Claude Monet, c’est que, réaliste évidemment, il ne se borne pas à traduire la nature, et ses harmonies chromatiques et plastiques.
Lorsque Passepartout apprit ce que coûterait cette dernière traversée, il poussa un de ces « Oh ! » prolongés, qui parcourent tous les intervalles de la gamme chromatique descendante !
Toutes ces subtilités chromatiques rejoignent finalement la question de l'invité mystère de " Cuisine et dépendances" , et le choix audacieux de ne jamais le montrer.
L'utilisation des pellicules de l'époque, et le choix d'une palette chromatique à dominante grise et marron, agrémentée de quelques touches de couleurs saturées, rappelle le bon vieux temps du Technicolor.