Le Secrétaire général a systématiquement condamné ces actes de terrorisme, soulignant qu'ils sont haineux, immoraux, indéfendables et contraires au droit international humanitaire.
Il est donc temps pour la puissance occupante d'arrêter de défendre ce qui est indéfendable et d'affronter ses responsabilités, conformément au droit international.
Cette position est moralement et juridiquement indéfendable et doit être vigoureusement réfutée par toute personne qui souhaite véritablement apporter la paix au Moyen-Orient.
L'amendement au paragraphe 15 d) est indéfendable parce que les châtiments corporels violent l'article 19 de la Convention relative aux droits de l'enfant.