Tous deux marchaient sur un sol ouaté par les matières pulvérulentes tombées du nuage. Aucun quadrupède n’apparaissait sous bois. Les oiseaux eux-mêmes avaient fui.
Cyrus Smith sentait frémir ces tufs volcaniques dont la plaine était semée, et qui n’étaient que des cendres pulvérulentes dont le temps avait fait des blocs durs, mais il ne vit encore aucune trace de laves nouvelles.