À l'inverse, la vice-Première ministre russe chargée des sports Olga Golodets salue la décision, fruit selon elle de l'énorme travail de ces dernières années dans la lutte contre le dopage.
Le danger de cette initiative réside dans le fait que l’on risque de ne plus se focaliser sur l’énorme travail que nous devons faire sur terre, afin d’empêcher, en premier lieu, l’invasion des plastiques dans les océans.
On fera appel à l'un ou à l'autre, au risque de développer un travail au noir important, avec des conditions de sécurité qui ne seront pas assurées auprès des promeneurs et des autres usagers de la forêt.