Toutefois, la végétation paraissait être moins fournie dans la partie de la montagne exposée au nord-est, et on y apercevait des zébrures assez profondes, qui devaient être des coulées laviques.
C’était cette première redoutable minute de l’inondation, quand le fleuve se soulève au niveau de la levée et que l’eau commence à s’infiltrer par les fissures de la digue. Une seconde encore, et la barricade était prise.