Certains artistes de notre temps, jetant un regard sérieux sur ce qui les entoure, s’attachent à peindre la douleur, l’abjection de la misère, le fumier de Lazare.
Comme tous les gens d’un mérite réel, milady connaissait le milieu qui convenait à sa nature, à ses moyens. La pauvreté lui répugnait, l’abjection la diminuait des deux tiers de sa grandeur.