Cela seul permettrait à toutes les délégations de supposer que les mots laissés de côté demeurent présents, même si c'est peut-être sous forme fantôme.
Ces 4 000 civils palestiniens n'étaient pas des fantômes. Ils étaient des êtres humains, qui avaient leur identité, leurs espoirs, leurs rêves et leurs ambitions.