J’ai secouru les opprimés, j’ai soulagé les souffrants. J’ai déchiré la nappe de l’autel, c’est vrai ; mais c’était pour panser les blessures de la patrie.
Durant ces premiers mois, Étienne en resta au ravissement des néophytes, le cœur débordant d’indignations généreuses contre les oppresseurs, se jetant à l’espérance du prochain triomphe des opprimés.
Il reste aujourd'hui le plus populaire des auteurs français, on apprécie ses tableaux éloquents de la condition des plus pauvres, des opprimés, du peuple silencieux.
Pendant 30 ans de sa vie, il a fabriqué des faux papiers, jamais pour lui même, toujours pour les autres, et pour venir en aide aux persécutés et aux opprimés.
Donc voilà je crois qu'à l'époque ça leur avait demandé énormément de courage et qu'en même temps ça avait parlé à des millions d'opprimés, pas seulement aux États-Unis.
Il préserva durant de longues générations le souvenir des belles années, sa demeure fut le refuge des faibles et des opprimés, un trésor de bons conseils et de connaissances utiles.
Elle a manifesté en faveur des peuples opprimés, elle a été pour la Pologne, pour la Grèce, elle a pris la défense de tous ceux qui souffraient, qui agonisaient sous la brutalité d’une foule ou d’un despote.