Il existe différents moyens que les pays peuvent utiliser pour se protéger contre le risque de flambée soudaine des prix sur les marchés internationaux.
Nos capacités en termes de recherche, de surveillance, de prévision et d'atténuation des effets sont fortement limitées faute de moyens scientifiques, techniques et financiers.
La forte hausse actuelle des cours donne à certains pays démunis l'occasion de financer le développement par le biais d'investissements étrangers directs dans les industries extractives.
La spéculation semble être un facteur important non seulement dans la montée en flèche des cours des produits alimentaires et énergétiques mais également dans leur effondrement ultérieur.
Et les tarifs ont explosé avec des écarts de prix considérables. L’autoroute entre Paris et Bordeaux est ainsi deux fois plus chère que celle entre Nancy et Lyon.
Les cours des produits alimentaires et des combustibles ont augmenté de manière exponentielle, ce qui risquait d'avoir des conséquences sociales et économiques graves pour les pays en développement.
Les risques et les coûts, tant humains que financiers, des interventions une fois que les conflits ont éclaté devraient constituer la meilleure incitation à la prévention des conflits.
Les envolées et l'instabilité des prix des produits alimentaires et des combustibles ont causé d'énormes difficultés aux pauvres et réduit leur niveau de vie dans le monde entier.
L'instabilité politique, les dommages aux puits et aux raffineries dus aux intempéries et la crainte de risques pour les approvisionnements ont été aussi à l'origine d'une forte hausse spéculative des cours.
Trop lentement selon les critiques, car l'explosion des prix due à la crise énergétique va s'aggraver et atteindre 13% d'ici à quelques mois au Royaume-Uni.
Quand le prix du gaz explose, celui de l'électricité explose aussi puisque le prix du kilowatt-heure est égal au coût marginal de la dernière unité de gaz qui en produit.
Limiter l'explosion des prix du gaz, plafonner les tarifs de l'électricité et aider les ménages à payer les factures de fioul, une mesure annoncée ce matin par le gouvernement.