Les deux plantes grandissaient avec tant d'allégresse que Florentino Ariza devait emporter son sécateur et autres outils de son jardin pour les élaguer.
Les sécateurs à la main, il coupait une grappe par-ci une grappe par-là, de manière désordonnée, puis de sa hauteur, il la tendait aux vendangeurs et aux vendangeuses en disant à chacun un mot à voix basse.