Il portait un étrange turban sur la tête qui lui donnait un peu l'air d'un fakir. En fait, il s'agissait du singe Youki qui faisait lui aussi partie du complot.
Nous ne pouvons penser sans effroi à ces pays où les fakirs, les bonzes, les santons, les caloyers, les marabouts, les talapoins et les derviches pullulent jusqu’au fourmillement vermineux.
Alors moi, d'abord, je confesse que je n'avais pas lu les premières aventures du fakir, mais je m'y suis quand même retrouvée, avis à ceux qui auraient raté le début.